Dans le cadre d’un travail en français avec Madame Richet, les élèves de 5èmeD ont réalisé des exposés sur les jardins. Ces panneaux ont été affichés dans le couloir du CDI. Quelques photos des affiches :
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Les élèves de 4e devaient créer une ville de 7500 habitants, grâce au jeu sérieux ECOVILLE.
(suite…)Le 1er octobre, la classe de 3eA, accompagnée par M. Baudrillart, a visité le Centre Européen de Biotechnologie et de Bioéconomie (CEBB).
(suite…)Le congrès scientifique des enfants est un projet impliquant la Cité de l’Espace de Toulouse et l’Agence Spatiale Européenne ; il est destiné aux classes de cycle 3 de l’ensemble de la France. La douzième édition, parrainée par Romain Charles, proposait aux élèves de concevoir la maquette d’un collège sur Mars ainsi qu’une charte de vie commune.
À Saint-Thierry, la classe de CM2 de l’école élémentaire du Massif – accompagnée de leur enseignante Mme Flamme – et de 6eB du collège du Mont d’Hor – et leur professeur de Sciences et Technologie M. Destombe – ont vu leur candidature commune retenue et se sont attelés à ce défi.
Ce vendredi 11 juin, KARIN SERRES est venue rencontrer ses “collègues d’écriture”.
Grand moment d’émotion pour ces élèves de 5ème du collège du Mont d’Hor. Eux qui sont pourtant “bien vivants” d’habitude ont reconnu avoir été d’abord très intimidés en rencontrant enfin celle avec qui ils ont partagé presque une année d’écriture.
Cela a commencé fin septembre, à l’occasion de “M’AUTEURS”, manifestation organisée par NOVA VILLA : venue le mercredi après-midi écouter la lecture de “BAGARRE”, le dernier texte de Karin, nous discutons ensuite de la rentrée, des élèves, et plus particulièrement d’une classe de 5ème… Certains viennent tout juste de retrouver le collège après l’épisode Covid du printemps, et ce n’est pas facile. Il faut notamment réapprendre à vivre ensemble.
Karin me propose alors de leur lire “Bagarre” en classe ! Quel cadeau ! Cela tombe bien, nous sommes plongés dans les récits d’apprentissage qui ne le disent pas et les contes de samouraïs. Alors, un matin, je lis le texte aux élèves. La magie opère instantanément, l’un de ces rares moments de grâce que l’on savoure. Pour la première fois, les trente élèves de la classe ont partagé ce temps suspendu, calmes, attentifs aux aventures de Mouche, Titus et Tata Moisie. L’écriture de Karin est une découverte, et ils parleront longtemps des personnages, discuteront sérieusement de la bagarre.
Rien que pour cela, j’étais reconnaissante !
Puis, juste avant la reprise des cours en novembre, je reçois un mail de Karin. Elle nous propose d’écrire ensemble, en ping-pong, un récit en 8 épisodes. Tout doit être bouclé pour les vacances de Noël. Karin écrit le 1er épisode, nous avons 5 jours pour écrire le 2ème. Peu à peu le rythme s’installe dans la classe, les rituels aussi : découvrir, écouter, et relire l’épisode envoyé, réagir, puis chercher des idées, se documenter, chercher l’inspiration seuls et collectivement, écrire, s’écouter, discuter, se mettre d’accord et finalement assembler les phrases des uns et des autres. Il faut jouer collectif ! Tout s’apprend.
Au fil des semaines, “Banzaï” prend forme, et le 8ème et dernier épisode écrit nous laisse quelque peu essorés, mais heureux d’avoir mené le projet à son terme.
Chacun range précieusement le texte complet dans son classeur en se promettant d’en discuter avec Karin, tous ensemble au printemps, à l’occasion de Méli’môme.
Le festival est réinventé, crise sanitaire oblige, et nous ne verrons pas “Bagarre”. Mais en attendant, nous restons en contact. J’explique à Karin que nous travaillons cette fois sur le thème des jardins. Elle nous propose alors d’écrire à Mouche nos jardins secrets. D’abord surpris “mais, Madame, Mouche, elle n’existe pas ! Comment voulez-vous qu’on lui écrive ?”, chacun se prête à nouveau au jeu, parce que Mouche est justement la personne idéale pour partager des secrets. Cette forme d’écriture bien plus intime va les amener à se dévoiler avec sincérité. J’ai promis de garder le secret.
Plus tard, nous imaginerons aussi les rêves et les secrets de Mouche, Titus et Tata Moisie…
Enfin, le 8 juin, j’annonce aux élèves que nous avons une invitée dans 3 jours. “KARIN SERRES ???” NOVA VILLA nous offre ce moment.
Et voilà, ce vendredi matin, nous entrons toutes les deux dans la salle, et pendant deux heures, une fois les premières émotions passées, nous allons revenir sur cette belle expérience, ce “voyage d’écriture”, comme disent les élèves. Les échanges, attentifs, constructifs sont passionnants. Nous partageons le plaisir de la lecture de nouveaux textes, et pour terminer, Karin lit “Titus”. Un nouveau cadeau.
Pour tous, c’était la première fois ! La première fois qu’ils accédaient à l’écriture théâtrale contemporaine, qu’ils écrivaient autant, collectivement, ou seuls, et surtout qu’ils rencontraient une autrice. Tout un univers s’est offert et ouvert à eux.
Je suis très fière d’avoir eu la chance de vivre ce projet, et surtout très heureuse que ces élèves rencontrent Karin Serres !
Grand merci à KARIN pour sa belle énergie, sa créativité et sa générosité, et grand merci à NOVA VILLA de rendre tout ceci possible.
Dominique Richet
Découvrez les textes écrits par les élèves (cliquez sur le titre) :
Cette belle rencontre en images :
Dans le cadre d’un travail sur les médias, les classes de 3ème de M. Brouet sont venus plusieurs fois au CDI pour travailler sur la presse écrite et plus spécifiquement sur les journaux.
Après avoir décrypté les Unes des différents journaux, ils ont étudié les dépêches. Dans un second temps, ils ont endossé le rôle de journaliste en rédigeant des dépêches sur des thèmes fictifs. l’ensemble de ce travail a permis enfin de construire des Unes. celles-ci sont affichées dans le couloir du CDI. En voici un aperçu :
Les élèves de 6ème sont allés, dans les classes, lire des poèmes dans le cadre du “Printemps des poètes”. Une activité qui permet de travailler l’expression orale devant un public. Les poèmes sont ensuite affichés dans le couloir du CDI. En voici un aperçu :
