Bonsoir à tous !

Voilà, c’est le clap de fin de ce séjour au Val-André qui fut riche en découvertes pour vos enfants. Je pense qu’ils auront beaucoup de choses à vous raconter, il va falloir vous montrer patients !

Dernier après-midi détente pour dire au revoir à la mer. Nous sommes partis sous la pluie mais cela n’a aucunement gêné les enfants équipés de leur ciré si reconnaissable !

Ils sont contents de vous retrouver mais ils disent également qu’ils étaient bien ici, avec leurs copains !

Nous partons demain en principe vers 7h30, nous devrions arriver aux environs de 18 heures. Il est difficile de prévoir une arrivée exacte avec un voyage aussi long.

J’espère que vous avez eu plaisir à nous lire et à regarder les photos qui avaient essentiellement pour but de vous faire partager un peu ce que nous vivions.

Un grand, un énorme merci à Evelyne et à Francis pour leur aide précieuse et leur implication sans faille !

Je vous dis à demain.

PS : Ne soyez pas en retard !

Ce matin, pour terminer notre séjour, nous sommes allés observer des oiseaux dans la réserve naturelle de la baie de Saint-Brieuc qui se situe à Hillion. Florence nous a prêté des jumelles et des fiches pour reconnaître les oiseaux.

Nous avons suivi un chemin côtier jusqu’à un observatoire. Florence nous a montré des panneaux d’explication. Nous avons appris comment volaient les bernaches cravants (en V) et qu’elles se relayaient en tête pour pouvoir se reposer en passant à l’arrière.

Nous avons vu peu d’oiseaux, car la marée était haute et il y avait beaucoup de vent. Nous avons quand même aperçu une aigrette garzette, des oies bernaches et des mouettes.

Nous sommes rentrés au Château Tanguy où une surprise nous attendait : un cocktail (de jus d’orange) et petits fours pour fêter notre dernier jour au Centre.

Cet après-midi, nous sommes descendus une dernière fois à la plage. On a joué, on a dessiné sur le sable : certains ont fait un grand poisson, d’autres ont écrit « Val André 2020 » en grand avec des pierres. Avant de quitter la plage, la maîtresse nous a tous pris en photo sur la plage et nous avons dit au revoir à la mer de Pléneuf-Val-André. Ça va tous nous manquer bien sûr.

Romarik et Rayan

Hier soir, un groupe de danseurs et danseuses bretons sont venus nous montrer et nous apprendre des danses bretonnes.

Il y avait trois dames et deux hommes.

Ils ont d’abord présenté leurs costumes et leurs instruments de musique, la bombarde et la flûte.

Ensuite une dame nous a expliqué la première danse, la Danse de Bréhat. Nous avons répété les pas sans la musique puis nous avons dansé avec la musique.

La seconde danse s’appelait les Lavandières.

Nous avons fait ensuite d’autres danses où nous nous mettions par deux.

Il y a eu 6 danses en tout.

Nous nous sommes beaucoup amusé !

Nolann

Ce matin, nous sommes restés en classe et nous avons fait une synthèse de notre séjour avec Florence, une de nos animatrices.

Nous avons reparlé de nos sorties (Saint-Malo, Cap Fréhel, les dunes, la mytiliculture). On a parlé de la famille des mollusques (ils ont un corps mou), de la famille des bivalves (ils ont deux coquilles) et on a fini par les gastéropodes (gaste veut dire estomac et pode pied).

Après, Florence nous a expliqué ce qu’étaient les pirates. On a appris que cela existait encore. Il y a eu plusieurs pirates célèbres comme Rackham le Rouge, Barbe Noire… Mais Florence nous a dit que le plus grand des pirates était une femme, Ching Shih, une Chinoise qui avait au moins 1 000 bateaux. On a appris que les pirates avaient des règles à respecter sur les bateaux comme entretenir leurs armes, qu’il était interdit d’avoir sur le bateau des femmes ou de jeunes enfants.

Cet après-midi, nous avons profité de la grande marée basse pour faire notre troisième séance de pêche à pied près du Verdelet. L’estran rocheux était plus dégagé que les fois d’avant. Par petits groupes, nous avons recherché dans les flaques laissées par la mer des animaux vivants. Nous avons trouvé des poissons (un gobie, une vieille, une blennie, un nérophis, c’est un cousin de l’hippocampe), des coquillages (une coquille Saint-Jacques, une bucarde, un pétoncle), un oursin, une étoile de mer, un petit homard breton et surtout plusieurs crabes (un dormeur, une étrille, une galathée).

Avec Florence, nous avons classé des animaux et elle nous les a présentés ensuite. A la fin, nous les avons tous remis dans des flaques.

Nous sommes remontés prendre notre goûter et nous avons pu regarder par les fenêtres du restaurant une grosse averse qui tombait dehors.

Lily-Rose, Kiéra et Antonin

PS : ce soir, un groupe de danseurs vient présenter des danses bretonnes. Tout le monde participe. Nous mettrons en ligne les photos demain.

Ce matin, nous sommes allés au port d’Erquy pour visiter un mareyeur. Un mareyeur reçoit le poisson pêché par les pêcheurs puis il le prépare pour l’expédition et la vente. Dans l’atelier 15 personnes travaillent. Le poisson frais est d’abord écaillé puis on le coupe en filets, la peau est retirée et enfin on l’emballe dans des caisses isothermes avec de la glace. Il est chargé dans des camions pour être livré dans des poissonneries, des grandes surfaces, chez des restaurateurs. La tête et les arêtes sont récupérées pour fabriquer de la farine pour les animaux. Nous avons vu de la lotte, de la raie, des saint-pierres, des bars, des rougets grondins, des coquilles saint-jacques et des praires.

Ensuite, nous avons visité le port de pêche. Les bateaux étaient au port à cause de la tempête. Philippe nous a montré les différentes techniques et instruments de pêche pratiquées à Erquy. Il a présenté les dragues pour pêcher les coquilles saint-jacques ainsi que celles pour pêcher les praires. Il nous a expliqué que la pêche de la coquille saint-jacques est très réglementée. Elle n’est ouverte que d’octobre à avril, elle ne peut être pêchée que deux jours dans la semaine et seulement 45 minutes. Des bateaux et un hélicoptère surveillent la pêche. Cette réglementation est faite pour protéger les coquillages et permettre que la ressource ne s’épuise pas.
Enfin Philippe a montré des filets de pêche, des chaluts ainsi que des casiers pour attraper des crustacés.

Cet après-midi, Judith nous a proposé de faire de la pêche participative en participant au programme Biolit pour aider les scientifiques. Nous sommes descendus à l’estran rocheux de Piégu où Judith nous a réexpliqué les règles de la pêche à pied. Nous ne devions prendre que des animaux vivants. Par groupe, nous avons fouillé dans les mares, soulevé des cailloux avec précaution. A la fin de notre pêche, nous avons déposé dans des bacs ce que nous avions trouvé. Judith nous les a faits classer en cinq catégories : mollusques bivalves, gastéropodes, crustacés, araignées de mer et anémones. Elle nous a ensuite expliqué les caractéristiques de chaque catégorie.
Nous sommes remontés rapidement au Château, car la pluie arrivait et nous sommes rentrés sous la pluie battante, et grâce aux cirés nous étions au sec.
Un chocolat chaud nous attendait et nous a fait du bien.
Nous avons fêté l’anniversaire de Calixte avec un gâteau au chocolat comme elle l’avait souhaité.

Justine, Lola et Valentin

PS : comme elle n’a pas réussi à souffler ses onze bougies d’un coup, elle a dû recommencer ce soir…

Ce matin, Philippe 2 nous a proposé de faire un ticket nature. Il fallait qu’on ramasse des petits objets laissés par la mer. Nous sommes descendus sur la plage. Avec la tempête et les grandes marées, il ne restait pas beaucoup de choses. Nous avons donc cherché et nous avons trouvé toutes sortes de coquillages (nous avons laissé les coquilles Saint-Jacques, trop grosses), mais aussi des algues, des galets, des bouts de bois, des plumes, des déchets (morceaux de filets de pêche et des tahitiennes) et même des œufs de bigorneaux.

Nous sommes rentrés en classe avec les objets de la laisse de mer que nous avons ramassés. Philippe nous a demandé de trier les objets en vivant, minéral, végétal et humain. Il a distribué les tickets (petite planche de bois avec une bande de double-face au milieu).
Nous avons placé les objets pour faire un joli tableau. Ensuite, nous avons retiré la protection du double-face et collé les objets. Pour ceux qui étaient un peu trop gros, on a mis de la colle. Puis Philippe a versé un peu de sable sur le tableau pour faire plus beau. Tous les tickets ont été emballés dans des journaux et mis dans un carton pour le retour.

Cet après-midi, nous devions aller compter des oiseaux, mais comme il faisait du vent et que nous commencions à être fatigués, nous sommes restés en classe. Judith, notre animatrice, nous a proposé de fabriquer des mangeoires pour les oiseaux. Nous avons commencé par répondre à un questionnaire sur la nécessité ou non de nourrir les oiseaux (à quelle saison ? avec quoi ? …). Puis nous nous sommes mis au travail. Après avoir choisi notre support, nous avons commencé à les décorer. Certains ont pris de la peinture et d’autres des feutres. Tout le monde “s’est éclaté” pour fabriquer sa mangeoire. Il y avait plein de couleurs et de motifs et le rendu était génial !
Nous avons fait une activité qui a beaucoup plu à toute la classe.

Antonin R, Calixte et Enola

Le mot de la maîtresse

Bonsoir à tous.

Ces quelques mots pour vous rassurer par rapport à la météo que nous subissons. Certes, c’est la tempête, le vent a vraiment soufflé (et continue à le faire) ces dernières heures, nous l’avons bien entendu cette nuit mais le bâtiment a bien tenu et nous nous sommes tous retrouvés au petit déjeuner, bon pied, bon oeil.

Les enfants ont pu voir depuis la fenêtre du restaurant les vagues submerger la digue, ce qui était très spectaculaire. Mais cela n’a pas particulièrement gêné les activités de la journée. Nous avons pu ramasser les coquillages sur la plage sans aucune goutte de pluie et sous le soleil (voir les photos). En revanche, comme la classe est constamment sur le pont depuis le début du séjour, nous avons décidé de modifier l’emploi du temps et de consacrer un temps d’activités calmes en classe. Cela a permis de les faire souffler un peu et cela semble avoir été apprécié. Après un court moment en classe avant puis après le dîner, nous avons laissé les enfants en activités libres et ils se sont finalement couchés rapidement pour être en forme demain.

Et d’ailleurs je vous laisse pour en faire autant !

Ce matin, nous sommes allés au Cap Fréhel. Nous avons observé la végétation que l’on trouve autour : la lande. Celle-ci pour s’adapter au vent et aux embruns est constituée de plantes peu élevées (bruyère, ajonc, genêt), on n’y trouve quasiment pas d’arbres (hormis quelques saules). Nous avons également vu le phare qui signale aux bateaux la présence du cap. En fait nous en avons vu deux : le nouveau et l’ancien. Le phare qui fonctionne actuellement est automatique et « marche » à l’électricité, il mesure une trentaine de mètres. L’ancien phare, plus petit était éclairé par de la graisse de baleine qu’on faisait fondre.

Ensuite, nous sommes allés observer « la Fauconnière », rocher où de nombreux oiseaux viennent nidifier. Florence nous a expliqué qu’on pouvait y voir au printemps : des goélands, des cormorans, des Fous de Bassan, des pingouins, des macareux, etc.

Puis nous sommes retournés au bus, le vent soufflait de plus en plus fort et nous avions du mal à avancer !

Cet après-midi, nous sommes allés voir un élevage de moules : la mytiliculture.

Au départ, les « bébés » moules s’accrochent sur des cordes qui seront tendues sur des tables. Au bout d’un mois, quand elles ont grandi, la corde avec les moules est enroulée autour d’un pieu en chêne de 2,50 m. Les mytiliculteurs mettent un filet autour des moules pour les maintenir, ils fixent aussi en bas du pieu des « tahitiennes », sorte de jupe en plastique pour empêcher les crabes de venir les manger. Quand les moules ont grandi, elles sont récoltées par des cueilleuses, un grand tube avec des griffes aux extrémités. Puis les moules sont lavées avant d’être expédiées.

Nous avons eu la chance de voir travailler des mytiliculteurs sur des bateaux amphibies, mais nous avons dû quitter les bouchots assez rapidement, car la mer remontait à grande vitesse.

Nous en avons profité pour prendre notre goûter, lorsque nous sommes sortis de la salle les bouchots étaient totalement recouverts et le vent soufflait de plus en plus fort !

Louann G, Julia et Zoé

 Ce matin, nous sommes allés à Saint-Malo.

Nous avons d’abord visité la Maison du Corsaire. Le guide nous a expliqué que les armateurs faisaient du commerce quand le pays était en paix ; par contre, en temps de guerre, ils pouvaient se battre avec l’autorisation du roi (lettre de marque) ils étaient alors corsaires. Pendant les combats, ils devaient faire tomber le drapeau du navire adverse (en allant à l’abordage) et le combat s’arrêtait. Le perdant devait remettre au gagnant son autorisation du roi. À ce moment-là, ils allaient en prison pour être échangés contre d’autres prisonniers. S’ils ne pouvaient pas donner cette autorisation, ils étaient considérés comme des pirates et pendus « haut et court ». Si un marin continuait à se battre après la chute du drapeau, il était alors pendu par les siens.

En temps de paix, les armateurs faisaient du commerce. Ils envoyaient des bateaux chercher des épices (clou de girofle…), de la canne à sucre, du café, du cacao, de la cannelle, du thé, de la soie, de la porcelaine… Le voyage durait plusieurs années.

Les marchandises étaient rangées sous la maison, dans des caves.

Saint-Malo était une ville très riche.

Pour protéger la ville et les marchandises qui se trouvaient dans les bateaux au port à marée basse, on fermait les portes des remparts à 22 heures. Une cloche sonnait pour avertir les gens de rentrer chez eux. Elle sonnait pendant 4 minutes. Après on lâchait 24 dogues (molosses entre 80 et 120 kilos) dans la ville et hors des murs. Si quelqu’un n’était pas rentré, il risquait de se faire dévorer.

Après un pique-nique dans la gare maritime, nous sommes rentrés dans la ville (intra-muros). On a d’abord vu l’Hôtel de Ville sur lequel flottent les drapeaux de Saint-Malo, de la Bretagne, de la France et de l’Europe. Puis nous avons découvert la maison natale de Chateaubriand. Il y avait les armoiries de la famille Chateaubriand.

On a vu plusieurs maisons qui avaient des vitres comme celles des bateaux parce que ceux qui construisaient les maisons étaient ceux qui construisaient les bateaux.

On est ensuite arrivés au Canada en trois minutes sans avion. En effet, il y a une petite place offerte au Canada par la ville de Saint-Malo en mémoire de Jacques Cartier (né à Saint-Malo) et qui appartient donc au Canada.

On a ensuite observé la statue et la maison de Robert Surcouf (un autre Malouin) qui était corsaire et très riche. Il y avait un « pot-à-feu » de plus de trois mètres sur le toit, montrant sa richesse.

Nous nous sommes ensuite promenés sur les remparts. Nous avons vu le chenil des dogues, la statue de Jacques Cartier, des canons et des échauguettes où des grilles protégeaient les gardes des chiens.

Après un goûter, nous sommes rentrés au Centre.

Eliah, Romain et Tom

Petit mot de la maîtresse

Bonsoir à tous !

Quelques lignes pour vous dire qu’ici tout va pour le mieux ! Nous n’avons pour l’instant aucun malade à déplorer même si la fatigue commence à se faire un peu sentir pour certains (nous les réveillons le matin en entrant dans les chambres à 7h45).

Nous poursuivons notre séjour avec des visites très intéressantes et un temps qui demeure clément (bien que nous soyons arrivés sous un typique crachin breton ce matin à Saint-Malo, nous avons fait la visite des remparts sous un beau soleil…).

Les enfants se montrent intéressés et curieux de tout, ce qui est très agréable. Évidemment le temps des trajets en bus et celui des repas demeurent un peu bruyants … Mais bon on ne peut pas tout avoir !

Demain dimanche, pas de repos ! Nous poursuivons avec une sortie au Cap Fréhel, espérons que les poussins ne s’envolent pas trop loin !

Bon week-end !!!!

Ce matin, nous avons fait notre dernière séance de char à voile. C’était vraiment bien car cette fois-ci, on a eu du vent, on n’a donc pas eu à pousser et les chars allaient plus vite !

Par contre, à cause du vent, il a été plus difficile de mettre la voile, il fallait faire attention de ne pas prendre un coup de bôme !

Vincent nous a préparé un petit parcours : nous devions aller tout droit (en tirant sur l’écoute pour prendre de la vitesse), faire un grand virage (en tirant sur l’écoute au début et en la relâchant dès que la voile changeait de côté) et enfin revenir en ligne droite puis s’arrêter.

Comme Vincent nous a dit que si nous prenions le virage trop vite une roue risquait de se lever, beaucoup d’entre nous n’ont pas pris de vitesse au départ et n’ont pas réussi à faire le parcours sans s’arrêter. Finalement, nous avons pris confiance et tout le monde a réussi au moins une fois le parcours sans être poussé ! Cette séance a été géniale, c’était la meilleure !

En début d’après-midi, nous sommes allés aux Sables d’or-les pins, dans l’estuaire d’un petit fleuve côtier « l’Islet ». On a étudié le sable par groupe à la loupe, on a ainsi vu qu’il était composé notamment de petits morceaux de coquillage et de petits graviers. Ensuite, on a étudié les laisses de mer, on a vu qu’elles étaient composées de branches, d’algues, on a constaté que des graines y poussaient. Les laisses de mer sont les déchets laissés par la mer et cela nous permet de savoir jusqu’où elle est montée.

Ensuite on a observé la dune et Philippe nous a expliqué comment elle s’était construite. Elle est formée de sable sec, à cause du vent, le sable se déplace et forme une bosse, cette bosse est peu à peu recouverte d’oyat. L’oyat est une plante qui ne pousse que sur le sable et dont les racines peuvent atteindre plus de 10 mètres. Au fur et à mesure que l’oyat se développe, ses racines forment un tissu qui permet de tenir le sable en place et empêche la dune de bouger.

Lorsque nous observions la dune, nous avons pu voir des bernaches cravants.

Nolann, Jules et Luuna

Pour notre 2ᵉ séance de char à voile on a eu un peu de vent (pas comme la 1ère fois !). Comme tout le monde se rappelait comment monter le char à voile, nous sommes allés très vite pour les installer !
Vincent, notre moniteur, nous a préparé un parcours sur la plage. En descente, on devait slalomer entre des cônes, ensuite, il y avait un grand virage et pour finir une terrible montée ! Au début, il n’y avait pas de vent et il a fallu pousser dans les montées. Puis le vent s’est levé et c’était drôle car certains d’entre nous n’arrivaient pas trop à contrôler le char à voile, surtout dans le virage !
C’était aussi très dur de remonter les chars à voile pour les ranger après la séance, car il fallait monter tout le temps pour quitter la plage.
Ce midi, nous avons fêté plusieurs anniversaires et nous avons mangé un gâteau à la fraise avec du coulis. Luuna a ainsi soufflé ses bougies, il y en avait 11 !

L’après-midi, nous sommes allés faire de la pêche à pied en dessous du centre, à côté de la jetée. On n’a pas pu pêcher longtemps, car le coefficient de marée était faible et après le repas nous étions en mer montante. On a trouvé des moules, des crustacés, des huîtres et des algues.
Après la pêche, Florence nous a donné le nom de différentes algues trouvées et nous a expliqué que l’on utilisait des algues pour faire des crèmes pour le visage, des yaourts… Elle nous a aussi dit comment le crabe muait, c’est Justine qui « faisait » le crabe !
Ensuite, comme il faisait un beau soleil, nous en avons profité et nous sommes allés sur la plage, nous avons goûté puis nous avons joué dans le sable. Beaucoup ont fait des châteaux et d’autres ont creusé des trous très profonds pour trouver de l’eau. La plupart d’entre nous sont rentrés avec plein de sable !

Louane T et Mattéo

PS : clin d’oeil pour la famille Pascal

PS 2 : Si vous pouvez lire de nos nouvelles si tôt et voir quelques photos ce n’est pas parce que nous sommes devenus des extraterrestres mais simplement parce qu’Evelyne a pris le relais pour lire des contes aux enfants et leur offrir un moment de relaxation avec de la musique “zen” pendant que je tapais les textes et que Francis s’occupait des photos ! Un grand merci à elle !

La maitresse